Nous voilà partis de Bayona tôt le matin pour descendre vers le sud et passer la frontière portugaise. Moteur pendant 6 heures, voile pour terminer la journée avec une arrivée musclée à Povoa de Varxim. La belle verte navigue toujours avec nous . 
Alors là ! Vraiment, cette marina mérite le 3 étoiles de toutes celles que nous avons connues jusqu’alors : accueil parfait, économique et à proximité de Porto en métro ultra-moderne. Heureusement, car nous patientons une journée que le vent de force 6-7 veuillent bien se calmer pour nous laisser reprendre notre route. Les portugais que nous rencontrons ici sont très accueillants, parlant couramment français et prêts à orienter au mieux le touriste égaré. Merci Vanessa pour tes conseils à notre arrivée à Porto.

Alors là ! Vraiment, cette marina mérite le 3 étoiles de toutes celles que nous avons connues jusqu’alors : accueil parfait, économique et à proximité de Porto en métro ultra-moderne. Heureusement, car nous patientons une journée que le vent de force 6-7 veuillent bien se calmer pour nous laisser reprendre notre route. Les portugais que nous rencontrons ici sont très accueillants, parlant couramment français et prêts à orienter au mieux le touriste égaré. Merci Vanessa pour tes conseils à notre arrivée à Porto.
Les rues de Porto
Puis suite de la route vers le sud pour aller au plus près de Lisbonne. Une belle journée à la voile avec une distance de 65 miles en 12 heures. Moins de vent la nuit mais une jolie pleine lune pour longer la côte portugaise. Un peu de moteur au petit, matin, ça réveille ! Puis vent arrière vers Peniche finalement (120 miles c’est raisonnable après une nuit de pleine lune, nous irons à Lisbonne plus tard), où nous retrouvons une marina tout ce qu’il existe de plus désagréable au Portugal : amarrés à quai juste à côté du passage des bateaux de pêche sortant ou rentrant au port à toute berzingue. Cela nous rappelle les mésaventures des ratatons dont se souvient encore le responsable de la capitainerie (Carlos vous passe le bom dia les amis ! ).
Départ dès le lendemain pour Cascais. Moteur, voile, moteur, voile jusqu’au mouillage. Demain, nous remonterons le Tage pour rentrer dans la ville.
Puis suite de la route vers le sud pour aller au plus près de Lisbonne. Une belle journée à la voile avec une distance de 65 miles en 12 heures. Moins de vent la nuit mais une jolie pleine lune pour longer la côte portugaise. Un peu de moteur au petit, matin, ça réveille ! Puis vent arrière vers Peniche finalement (120 miles c’est raisonnable après une nuit de pleine lune, nous irons à Lisbonne plus tard), où nous retrouvons une marina tout ce qu’il existe de plus désagréable au Portugal : amarrés à quai juste à côté du passage des bateaux de pêche sortant ou rentrant au port à toute berzingue. Cela nous rappelle les mésaventures des ratatons dont se souvient encore le responsable de la capitainerie (Carlos vous passe le bom dia les amis ! ).
Départ dès le lendemain pour Cascais. Moteur, voile, moteur, voile jusqu’au mouillage. Demain, nous remonterons le Tage pour rentrer dans la ville.
Cap Carvoeiro
1 commentaire:
c'est un peu chez moi la bas, faut slamer sur le fado.. Sinon pas top au niveau du gazon mais ça va s"ameliorer plus late.Zoub à tous les 2 from José C.j'hanite Fleury maintenant...
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