Naviguer, c’est bien ! Ramener du poisson en route, c’est mieux !
Nous quittons la Palmeira avec un fort vent arrière, effet thermique sur l’île de Sal : nous avançons à 6 nœuds avec 3 ris dans la grand voile sur les 15 premiers miles. La nuit est tranquille, nous relançons la toile et barrons aux étoiles. Rappelons que nous n’avons plus de pilote automatique et que nous nous rendons justement à Mindelo sur l’île de Sao Vicente pour le réparer.
Au petit matin, Yves remonte une belle dorade coryphène : quelques bons repas en perspective ! A l’arrivée au mouillage nous en donnons une partie à Talabao, nos amis du gang Brestois, que nous sommes contents de retrouver.
Dès qu'on met le pied à terre, on est assaillis par les locaux qui nous proposent de nous rendre un service, de nous vendre quelque chose ou simplement mendient à manger, un grog, ou de l’argent. Pas facile pour nous de trouver la juste attitude pour leur répondre. Mais contrairement à ce qu’on entend parfois sur le Cap Vert et surtout Mindelo, nous ne rencontrons aucune agressivité.
Nous quittons la Palmeira avec un fort vent arrière, effet thermique sur l’île de Sal : nous avançons à 6 nœuds avec 3 ris dans la grand voile sur les 15 premiers miles. La nuit est tranquille, nous relançons la toile et barrons aux étoiles. Rappelons que nous n’avons plus de pilote automatique et que nous nous rendons justement à Mindelo sur l’île de Sao Vicente pour le réparer.
Au petit matin, Yves remonte une belle dorade coryphène : quelques bons repas en perspective ! A l’arrivée au mouillage nous en donnons une partie à Talabao, nos amis du gang Brestois, que nous sommes contents de retrouver.
Dès qu'on met le pied à terre, on est assaillis par les locaux qui nous proposent de nous rendre un service, de nous vendre quelque chose ou simplement mendient à manger, un grog, ou de l’argent. Pas facile pour nous de trouver la juste attitude pour leur répondre. Mais contrairement à ce qu’on entend parfois sur le Cap Vert et surtout Mindelo, nous ne rencontrons aucune agressivité.
Mindelo Carnaval
Le carnaval commence très vite, les rues se remplissent de monde, de sons et de couleurs. Dans la baie de Mindelo, nous nous trouvons aux premières loges pour en profiter (Christal est juste à côté du bras gauche de la demoiselle en rose sur la photo).
4 jours de baroule au rythme des batoukadas et des chansons Capverdiennes.
Chaque association, chaque quartier est représenté : homosexuels, fabricants de chaussures, école, gymnastes…
Voici en images :
- Un char d’enfants avec des princesses au cœur des fleurs :
- Un char nénuphar
- Les hommes de boue - Une barbie® à plumes
- des militants écolos (il faut dire que le capverdien jette tout dans la nature) :
- Pedrach, un des plus forts footballeurs acrobatique professionnel et aussi chanteur -guitariste-auteur-compositeur !
- et beaucoup d'autres encore :
- ou encore un flic en robe bien alcoolisé établissant un contact radio avec les martiens à 10 heures du matin
- des échoppes de ravitaillement pour le petit creux :
La vie au mouillage de Mindelo :
En dehors de la fête nous reprenons les joies du mouillage : dépoussiérage du pont, plein d’eau, d’essence, marché aux légumes et aux poissons…
Même en dehors du carnaval, l’activité culturelle est riche à Mindelo : concerts, artisanat, fresques sur les façades… la fête continue !