Sur l’île de Sal, tout ressemble au désert avec un maximum de sable et un minimum de végétation. L’île est entièrement plate en dehors des quelques bosses volcaniques qui ne dépassent pas 300 mètres.
Depuis Espargos, la capitale de l’île qui dispose aussi de l’unique aéroport international du Cap Vert, rayonnent trois routes goudronnées pour les principaux sites du bord de mer, pour visiter le reste, il faut se contenter de pistes caillouteuses et en tôle ondulée.
Au sud, à Santa Maria, le tourisme s’est bien développé : plage de sable blanc, kite-surf et bars à gogo tenus par des italiens.
Nous avons particulièrement apprécié les salines.
Jadis exploitées par les salins du midi, ancien territoire français par conséquent, nous nous trouvons devant le décor lunaire de cette exploitation laissée à l’abandon. Des bassins d’eau de
Pierre (de Peter Pan cf http://www.peterpantrip.blogspot.com/) et Zic revien
La vie au mouillage est résolument bien tranquille. Nous apprécions le petit bain de mer quotidien depuis le bateau. Le matin, le nettoyage concerne surtout le pont qui se colore du sable orange apporté par le vent. Les après-midi peinture-lecture-musique vont bon train. Et le soir, nous avons même le luxe de pouvoir regarder un film, car le soleil vient recharger nos batteries quand l’harmattan se calme. Et puis à l’occasion, on se retrouve à bord des autres bateaux ou au bar internet. Ou encore on mange tous ensemble le barbecue sur la plage avec les enfants du village.
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